15 mai 2013
Gratitude
Le jour a dessiné au rythme de ses heures,
Aux creux de ton visage, une frêle pâleur.
J’entends en ta fatigue les cris de la maison
Et les mille corvées et les occupations
Qui dès l’aurore venue t’assaillent sans merci
Toi qui, à tout instant, nous fait don de ta vie.
Te voici reposant sur les draps de nos nuits
Ton corps, abandonné, respire en harmonie.
Silence apaisant d’une douce quiétude
Et me viennent alors ces mots de gratitude.
Couchés sur le papier ils viendront à leur heure
Te dire combien en toi je puise mon bonheur.
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